En raison du confinement, l’Inrap avait dû interrompre, le 17 mars 2020, et mettre en sécurité ses chantiers de diagnostics et de fouilles, dans le cadre des mesures de prévention de l’épidémie. L’Institut national de recherches archéologiques préventives a repris du service en appliquant un dispositif sanitaire strict.
En raison du confinement, l’Inrap (L’Institut national de recherches archéologiques préventives) avait dû suspendre, le 17 mars 2020, et mettre en sécurité ses chantiers de diagnostics et de fouilles, dans le cadre des mesures de prévention de l’épidémie. Une période mise à profit par les archéologues de l’Institut pour se consacrer aux études en cours et à la réalisation des rapports. Une cinquantaine de rapports d’opérations archéologiques ont ainsi été remis en Grand-Est aux services de l’Etat (Drac Grand-Est), selon l'Inrap.
Depuis le 11 mai, l’Institut a repris les opérations d'archéologie préventive qui lui étaient confiées et a rouvert progressivement ses chantiers en dialogue étroit avec les aménageurs et les services de l’État. Des activités s'appuyant sur un plan de reprise comprenant un protocole sanitaire strict. À ce jour, sur le territoire Grand Est 13 diagnostics et 9 fouilles archéologiques ont été engagés ou réalisés.
Outre la dimension patrimoniale et scientifique, l’Inrap accompagne aussi la relance des chantiers d’aménagement contribuant aussi au soutien des acteurs économiques dans les territoires.