La Colline Aux Coquelicots
Nostalgique peinture d’un Japon à reconstruire, mâtinée d’une réflexion inaboutie sur la filiation, le deuxième long- métrage de Goro Miyazaki déçoit. Bien que touchant, il souffre d’un trop grand souci de réalisme, et l’absence de la formidable fantaisie qui fit la renommé de Miyazaki-père cantonne le film au ras des pâquerettes… ou en l’occurrence, des coquelicots.