L'annonce du placement en surveillance renforcée du département de Meurthe-et-Moselle fait réagir le sénateur Olivier Jacquin
Le Premier ministre vient d’annoncer ce jeudi lors du point presse hebdomadaire sur l’épidémie le passage de la Meurthe-et-Moselle en zone de surveillance renforcée. Pour Olivier Jacquin, il est important de relever des nuances « notre département connaît effectivement une flambée des cas positifs dans le Pays-Haut. La situation y est bien plus préoccupante qu’à Nancy et dans le sud, avec un taux d’incidence de plus de 200 contre 150 sur la Métropole. »
Une situation que doit prendre en compte le gouvernement en cas de renforcement des mesures selon le sénateur « si le gouvernement devait prendre des mesures renforcées pour notre département, je demande à ce qu’elles soient différenciées. Nancy et la Vezouze ne peuvent être traitées de la même façon que le Pays Haut, dans la mesure où les taux d’incidence et l’évolution du virus ne sont pas les mêmes entre ces deux secteurs. »