Nancy. La 43eme édition du Livre sur la Place a été inaugurée ce vendredi 10 septembre. Durant trois jours la cité ducale, ville natale de Edmont de Goncourt, revêt sa parure de fête pour célébrer la littérature.
>> Le Livre sur la Place inauguré ce vendredi 10 septembre 2021 à Nancy / Nos questions à Bertrand Masson,
Des académiciens, auteurs et illustrateurs réunis à Nancy... La manifestation littéraire du Livre sur la Place s’est ouverte ce vendredi 10 septembre 2021 sans son président Enki Bilal, artiste et auteur de bande dessinée à la renommée internationale qui, souffrant, sera absent.
L’évènement littéraire, qui marque sa 43 édition, organisé par la Ville de Nancy et l’association de libraires Lire à Nancy sous pass sanitaire mettra à l’honneur cette année la Grèce qui célèbre les 200 ans de son indépendance et les 40 ans de son entrée dans l’Union Européenne. Pendant trois jours, plusieurs prix sont remis dont le prix Goncourt de la Biographie Edmonde Charles-Roux, Prix Livre et Droits de l’Homme de la Ville de Nancy, le Prix des Libraires de Nancy ou encore le Prix Stanislas récompensant le meilleur premier roman de la rentrée littéraire.
Marie-Madeleine Rigopoulos, commissaire générale du Livre sur la Place
« Nancy est bien sûr la ville du Livre sur la Place et le Livre est sur la Place, mais Nancy est aussi la ville du Livre 365 jours par an. Une ville attachée à ses libraires indépendants qui sont de ceux aujourd’hui qui ont répondu présents au coeur de la crise. Être aujourd’hui libraire indépendant est plus qu’un métier c’est un engagement, une passion », déclarait vendredi Mathieu Klein, maire de Nancy lors de l’inauguration du Livre sur la Place en présence de nombreux élus et des organisateurs de l’évènement.
« Nancy, est, demeure et demeurera la capitale du livre. Elle l’est parce que les libraires sont présents, elle l’est parce que vous toutes et vous tous, répondez présents chaque année.», a ajouté le maire de Nancy.
Jusqu'à dimanche, les lecteurs novices ou confirmés sont invités à participer à une kyrielle de rendez-vous à travers un maillage dans toute l’agglomération, sous le chapiteau, autour de la place, dans les écoles, les hôpitaux les écoles, les quartiers... « La programmation est dense, on l’a voulue plurielle, on l’a voulue pour tout le monde... C’est le salon de tout le monde », s’est enthousiasmée Marie-Madeleine Rigopoulos, la commissaire générale.