En noir et blanc, rehaussé d’inscriptions dorées, le tout premier calendrier des commerçants de Nancy rend hommage à l’Art déco dont on célèbre le centenaire. Un bel objet, à offrir ou à s'offrir, dont les bénéfices de la vente seront reversés à la Fédération de cancérologie du CHRU de Nancy.
Élégance, solidarité et amour du patrimoine, à l’approche des fêtes, c'est un objet que l'on prendra plaisir à feuilleter tout au long de l'année 2026. Le premier calendrier des commerçants de Nancy vient tout juste de paraître. À travers douze pages en noir et blanc, rehaussées d’inscriptions dorées, il rend hommage sur papier glacé à la ville, à ses commerçants et à son patrimoine.
Imaginé par Les Vitrines de Nancy et réalisé sous l’objectif du photographe Charly Macminem, ce calendrier chevalet, met en lumière des commerçants qui ont accepté de poser devant les lieux emblématiques de leur ville. De la Villa Majorelle à la Porte de la Craffe, en passant par la Place Stanislas, la place de la Gare ou le Parc de la Pépinière, chaque photographie célèbre la beauté et l’énergie de la cité ducale. « On a essayé de jalonner la ville entière, tous les quartiers, avec différents lieux emblématiques », explique Sébastien Duchowicz, président de l’association.
Le parti pris esthétique confère à ce calendrier 2026 une allure chic et intemporelle, ponctuée d’un clin d’œil à l’Art déco, dont Nancy célèbre cette année le centenaire. Mais au-delà de l’élégance, le projet s’inscrit surtout dans une démarche solidaire. L’intégralité des bénéfices sera reversée à la Fédération de cancérologie du CHRU de Nancy. Pour Sébastien Duchowicz, ce calendrier incarne « une manière de faire du bien, à soi comme aux autres, tout en valorisant les acteurs locaux ».
Tiré à 500 exemplaires, le calendrier 2026, sera mis en vente à partir du 21 novembre, au prix de 14,90 euros, chez les commerçants partenaires ainsi qu’au village de Saint-Nicolas, dans la Maison de Saint-Nicolas (Place Charles III à Nancy). Un calendrier raffiné et solidaire, qui pourrait bien devenir, s'il trouve son public, une nouvelle tradition des fêtes nancéiennes.








